lundi 27 juin 2011

Du 10 au 12 juin 2011 : Kralendijk, Bonaire; 12:09.31N 68:16.79W



Nous ne nous sommes pas beaucoup attardés à Bonaire. C`est une ile extrêmement couteuse pour notre porte-monnaie, sans comparaison avec le Venezuela. Le temps de faire du linge, quelques courses et nous repartons rapidement vers Curaçao. Nous n`avons aucune photos de Bonaire étant donné que nos 2 appareils photos sont en panne. Décidemment, Bonaire ne nous aura pas inspirés….à part Hicham qui ressasse sans arrêt cet air…

A Kralendijk,
J’ai rencontre une fillejk
Elle s’appelait Clarrissjk
Elle était tellement jolijk
Alors je lui ai disjk
Ich liebe dichjk !
à Kralendijk
Ich liebe dichjk !
à Kralendijk
Ich liebe dichjk !
à Kralendijk
et elle me repondijk
change de disjk

mardi 21 juin 2011

09 juin 2011: Isla Larga, Las Aves de Sotavento; 12:02.61N 67:40.71W.

Nous avons changé de mouillage pour pouvoir plus facilement sortir de nuit. C`est cette nuit le grand départ pour Bonaire, c`est ici que nos routes se séparent avec `Songerie`. Eux repartent vers le Sud et nous vers l`Ouest.
Bye bye `Songerie` et merci pour tous ces merveilleux moments passés ensemble.
 



06 juin 2011: Isla Palmeras, Las Aves de Sotavento; 12:01.43N 67:40.74W.



Ce mouillage réunit tout ce que l`on recherche. C`est un petit lagon calme entre 2 iles, fermé par une langue de sable. Il y a une superbe plage pour Marwan, des fonds superbes pour le `snorkeling`, accessibles du bateau. Finalement, on a plutôt été déçu par Los Roques, en comparaison avec Las Aves, qui sont beaucoup plus sauvages. Les mouillages sont beaux, et le `snorkeling` impressionnant.





Clarisse a pu exercer un peu de médecine en soignant un pêcheur et un garde-côte. Nous avons été payés « en nature » avec un beau mérou : un « garupa ».
Nos chemins vont bientôt se séparer avec Jaco et Christelle. Mine de rien, ca fait quasiment 2 mois que nous voyageons ensemble. C`était vraiment un moment enrichissant et précieux. Nous avons appris beaucoup de choses à leur contact : sur la Namibie, comment fumer un poisson, des techniques de pêches sous-marines, comment préparer un lambi, …. Nous avons passé des moments fabuleux, des moments de découverte culinaire, et tout simplement des moments de bonheur partagé. Pour notre repas d`adieux, Hicham a préparé un confit de canard accompagné de riz, crique de pommes de terre, et de lentilles. En dessert, un pudding au chocolat, sans œufs (on apprend à faire avec ce que l`on a). Ce fut encore une fois une merveilleuse soirée.

04 et 05 juin 2011: Las Aves de Barlovento; 11:56.85N 67:25.32W

Le mouillage est magnifique. Nous sommes ancrés devant la mangrove. Les racines de palétuviers forment un enchevêtrement compliqué. Ca fait du bien de voir un peu de verdure après la succession de plages à Los Roques.


Du bateau, nous avons accès à de jolies barrières de corail. Il y a de nombreuses variétés de coraux et de poissons multicolores.

Jaco et Hicham vont plonger plus loin derrière la barrière de corail qui protège les îles de la haute mer.

C’est une sensation vertigineuse que de nager le long de ces récifs qui tombent à pic à plusieurs centaines de mètres, mais les poissons y sont bien plus gros. Et effectivement, hier, Jaco s’est retrouvé nez à nez avec un requin, ce qui nous a un peu refroidi. Alors on est repassé de l`autre côté de la barrière et on a quand même ramené 2 beaux poissons : une gorette et une blanche effilée.

Afin d’éviter tout risque d’empoisonnement à la ciguatera Hicham sert de cobaye et goutte le poisson à midi. Si après 6 heures, Hicham ne présente toujours pas de symptômes, Clarisse pourra manger sereinement son poisson…

La mangrove c`est jolie, mais l`inconvénient, dès que le vent tombe, c`est les moustiques. Nous avons failli être envahis, hier soir, par un essaim de moustiques. Heureusement, `Songerie`, plus près de la mangrove, a pu nous avertir à temps. Tout le monde à l`intérieur, barricadés derrière les moustiquaires, nous avons pu éviter leur assaut de justesse.

Ce matin, il n`y a pas de vent, l`atmosphère est lourde. Nous faisons face à la mangrove et ces moustiques. Il est temps de partir. Nous irons à Las Aves de Sotavento, une île un peu plus à l’est.

06 juin 2011: Las Aves de Barlovento; 11:56.90N 67:25.04. Langoustes et moustiques.

Finalement, nous ne sommes pas partis de Las Aves de Barlovento, nous avons simplement changé de mouillage pour nous éloigner de la mangrove et de ses moustiques. Il n`y a pas de vent, l`atmosphère est lourde : chaude et humide.
Jaco et Christelle ont conclu un deal excellent avec les pêcheurs : une langouste de 1,5 kg contre un paquet de cigarettes la veille, et aujourd’hui, contre 2 paquets de cigarettes, ils ont eu un monstre : une langouste de 4 kg ! Quand on pense au prix de la langouste en France…


Nous, nous n`avons plus rien à échanger, plus de clopes, plus de rhum, plus de coca, plus de piles…et nous sommes presque à court de vivres. Alors, Ils nous ont invités à partager ces belles langoustes. Nous avons passé l`après-midi et la soirée à les déguster, la première au court-bouillon, et la seconde au barbecue (elle ne rentrait pas dans les marmites !). Pour l`occasion, nous avons débouché une des bouteilles de vin de grand-papy (Jacques, le grand-père de Clarisse) : Un Richebourg Grand Cru 1994 ! Un vrai régal de gourmets…



 

En rentrant sur le bateau, nous avons été assaillis par un nuage de moustiques. Malgré les moustiquaires extérieures, une cinquantaine de ces bestioles sont arrivés à entrer dans le bateau par une bouche d’aération. Heureusement que nous disposons d`une moustiquaire de lit ! Eh oui ! Même au paradis il y a des moustiques…

dimanche 19 juin 2011

02 et 03 juin 2011: Las Aves de barlovento; 11:56.85N 67:25.32W

Nous avons parcouru les 30 milles séparant Cayo de Agua de Las Aves de Barlovento en 5 heures, plein vent arrière, génois tangonné. Nous avons été un peu ballotés par une mer bien formée. Ce n`est pas l`allure la plus confortable! Clarisse, à l`intérieur, avec Marwan était un peu barbouillée. Marwan, aucun problème ; nous avons de la chance d`avoir un bébé qui a le pied marin. Le bateau le muscle et lui donne un sacré sens de l`équilibre pour un bébé de 9 mois. Il arrive à évoluer sans trop de soucis quand le bateau nous remue dans tous les sens. Bon, il a quand même quelques bosses, on avoue, …




Nous sommes arrivés à Las Aves de Barlovento avec un soleil haut, nous permettant de bien distinguer les nombreuses cayes sur notre chemin. Il n`était alors pas très compliqué de slalomer entre les coraux jusqu`à atteindre notre mouillage à l`Est de l`atoll, derrière la barrière de corail. Des centaines d`oiseaux, curieux de ces nouveaux arrivants, nous accompagnent, dans un concert de piaillement joyeux.



Jaco repère l`endroit où ils iront plonger le lendemain avec Hicham pour chasser, et nous une jolie petite plage à l`extrême Est de l`ile. Marwan est fasciné par les débris de coraux, il les manipule dans ces petites mains avec une curiosité de scientifique.






Le lendemain, la pêche fut fructueuse, une palomète, un vivaneau queue jaune, un gros lutjon-mouton et un énorme vivaneau cubera (pargo). Le tout préparé au barbecue avec une petite sauce dont Cristelle a le secret et on se régalera encore une fois.

Quel plaisir de vivre en Robinson du produit de notre pêche. Depuis qu’on a quitté les caraïbes, on dépense de moins en moins d’argent. On arrive à vivre à trois avec un peu moins de 800 euros par mois, ce qui est un record absolu depuis notre départ. Quel bonheur de quitter la civilisation, de vivre des semaines aux abords d’iles désertes et vivre en totale autarcie !



vendredi 17 juin 2011

31 mai 2011: Cayo de Agua; 11:49.27N 66:56.35W

Après 2 jours passés dans ce magnifique lagon de Carenero, nous nous décidons à partir explorer une autre île de Los Roques, Cayo de Agua. Nous partons un peu tard dans l`après-midi, les cayes dans Cayo Agua ne sont pas très visible. Heureusement que nous disposons de Way points précis pour l`entrée du lagon ! Nous arrivons sans encombres dans un mouillage paisible, entourés d`immenses plages de sable blanc.


L`exploration en PMT (palmes masque tuba) est très belle. En partant du bateau en direction de la barrière de corail, nous traversons une plaine d`herbe sur du sable, parsemée d`énormes lambis. Ensuite, nous atteignons une langue de sable blanc, jonchée de dollars des sables, avant d`atteindre la barrière de corail. Les coraux sont impressionnants, à fleur d`eau. C`est une nourrice pour des milliers de petits poissons de toutes les couleurs. Cependant, en explorant bien chaque anfractuosité, nous ne trouvons pas de langoustes.


Un petit bricoleur en herbe.


Gouter de fin de plage.



En fait, nous avons hâte, maintenant, de pouvoir à nouveau chasser du poisson. C`est interdit à Los Roques, seule la pêche à la ligne est autorisée. Hicham et Jaco ne manquent pas de trainer leur ligne à chaque sortie de mouillage, mais les traversées sont courtes, et nous sommes souvent bredouilles. Seul Hicham a pu pêcher un beau barracuda entre Carenero et Cayo de Agua. Nous ne savons pas trop si il est interdit ou pas de manger des lambis, mais ils sont à portée de main, énormes. Alors bon, un ou deux de moins…

29 mai 2011: Carenero; 11:53.12N 66:50.70W. Une journée qui commence mal.


Pour nous mettre de bonne humeur, nous nous sommes réveillés ce matin dans le caca ; il y en avait partout, sur nous, sur les draps et bébé tout sourire nous regardait avec ses grands yeux bleus. Merci Marwan pour ce « petit » cadeau, et surtout merci à ces couches lavables qui fuient ! Nous devions lever l`ancre pendant la sieste de Marwan, mais nous avons pris du retard, car `Songerie` a de nouveau eu un problème de moteur. Et c`est donc un bébé chouineur, et une maman de très mauvaise humeur qui ont pris la barre. Alors quand Hicham dit à Clarisse d`aller par là pour éviter les cayes et qu`elle se permet de discuter, ça explose. Résultat, Hicham s`occupera tout seul de la navigation, et Clarisse ira bouder avec Marwan à l`intérieur.

A l`arrivée au mouillage à Carenero, les tensions se sont un peu apaisées. On entre en premier dans le lagon, pour pouvoir aider `Songerie` au cas où ils auraient à nouveau un problème de moteur. On ancre, Clarisse et Marwan à la barre, Hicham à l’avant. Marche avant, marche arrière, le moteur cale. Hicham est occupé avec la chaine et n’entend rien. Clarisse ne se pose pas de questions, redémarre le moteur, fait marche avant, comme lui demande le capitaine. « C`est comme une voiture, si j`ai calé, c`est que je dois être en sous régime. » Et là, `blang`, un grand bruit de claquement. Qu`est-ce qui se passe ? Clarisse se retourne et crie à Hicham « l`annexe se barre, je me suis pris le bout de l`annexe dans l`hélice ». Hicham : `C`est pas vrai, tu plaisantes`. Mais non, elle ne plaisante pas. Heureusement, on était déjà ancré ! Il plonge pour récupérer l`annexe qui doucettement s`éloigne vers les récifs, la récupère, et libère le bout de l`hélice. Ca va, les dégâts ne sont pas importants, pas de voie d`eau et le coupe-orin a bien fonctionné. Heureusement que `Songerie` n`a eu aucun problème de moteur…

Tout le monde se calme, le mouillage est magnifique. Nous sommes entourés de petits ilots de mangrove, et de plages. Les fonds de sable peu profonds donnent à la mer des couleurs magnifiques. Les seuls habitants des ilots sont les oiseaux, des pélicans et des mouettes par milliers qui se régalent des petits poissons qui nagent en bancs.

Le petit point rouge marque notre position sur l`image satellite.


Ilot de mangrove à l`Ouest de notre mouillage.

Entrée dans le lagon de Carenero.

L`ile au Nord est bordée de plages et de quelques cabanes de pêcheurs.

Hicham pèche un autre lambi, ca fera 3 avec les 2 qu`il a pêché avant de partir, à Noronqui. Jaco lui montre comment les préparer (ce qui n`est pas si simple), et on se régalera encore une fois, d`une bonne fricassée de lambis.

Marwan, lui, a droit à un petit pot.

27 et 28 mai 2011: Noronqui; 11:55.43N 66:44.12W

Avant de quitter Francisquis, nous sommes allés faire un tour `en ville` à `El Gran Roque`. C`est un taxi-boat qui nous y a amenés à fond la caisse. `Puerto El Roque` est un petit village animé, des petits avions atterrissent et décollent sans cesse sur l`aéroport mitoyen. Nous avons été étonnés par la beauté des maisons. Toutes sont construites à peu près sur le même style avec petit patio intérieur, une décoration simple mais qui fait son effet.



El Gran Roque. La piste d`atterrissage est dans le village et le trafic ininterrompu

Dans le taxi-boat qui nous ramène à Francisqui. Désolée Christelle, l`ombrelle te cache.

Marwan était heureux comme tout de retrouver un peu de civilisation. C`est un petit garçon très sociable, qui adore être complimenté. Il faut dire qu`au Venezuela, l`enfant est roi, et Marwan a beaucoup de succès. On devrait faire payé aux gens les photos qu`ils prennent de lui pour financer notre voyage… Il a même pu faire du quatre pattes sur quelques terrasses de `posadas` (maisons d`hôtes). Il en a oublié de dormir, ce qui arrangeait plutôt nos affaires, puisqu`il a dormi pendant toute la navigation entre `Francisquis` et `Noronqui`. Il s`est réveillé juste à temps pour barrer avec sa maman dans l`entrée du mouillage.

Nous sommes ancrés face à la plage dans 14 mètres de fond de sable, bien protégés par la barrière de corail qui nous encercle. Nous ne sommes pas inquiets pour cette nuit malgré les 20 nœuds de vent qui souffle en continu.

Clarisse fait du pain. On s`est grandement amélioré dans la fabrication de nos pain. Le secret : farine de qualité et pétrissage long.

Une petite cabane sur la plage nous abrite du soleil. Il n`y a pas beaucoup de palmiers aux Roques.

Yapa fait face a la barrière de corail.

Hicham s`est fait adopter par des petits lezards.


mercredi 15 juin 2011

26 mai 2011 : Francisquis ; 11:57.39N 66:39.00W

La navigation dans Los Roques est très agréable, avec des alizés constants, et une mer plate. Il faut naviguer à vue, étant donné les nombreuses cayes qui sont sur notre route. Nos cartes électroniques ne sont d`aucun secours et même dangereuses, car nos positions GPS sur la carte ne correspondent pas du tout à la réalité. Selon notre logiciel, nous aurions navigué en permanence sur les cayes! Jaco et Christelle se sont faits une petite frayeur, ils sont tombés en panne de moteur au milieu d`une passe. Il leur a fallu dérouler le génois en catastrophe. Heureusement Jaco a pu purger et redémarrer le moteur rapidement.

Francisquis est formé de petites iles et de rochers qui forment un lagon complètement protégé.


 Il y a des belles plages de sable blanc pour que Marwan et les chiens de Jaco et Christelle puissent un peu se défouler. Par contre, nous ne sommes pas seuls au mouillage, ce qui nous change grandement de Tortuga et de la Blanquilla. Demain, nous remettrons le cap vers des ilots plus sauvages.

Maintenant, Marwan fait le grand. Il aime faire ce que l`on fait. Il se lasse des petits pots et purée. Ce qu`il veut maintenant qu`il a des petites dents, c`est manger comme nous. Alors aujourd`hui, il a dégusté avec le plus grand plaisir le reste de la dorade à la moutarde et au miel.

25 mai 2011: Los Roques; 11:47.96N 66:34.39W

Nous sommes partis de Puerto La Cruz le 23 mai 2011, avec comme d`habitude un jour de retard. Il a plu toute la journée et nous n`étions pas vraiment prêt à naviguer dans ces conditions. Il faut dire aussi que la veille, nous avions fêté notre départ avec quelques amis de la marina, et ce fut un peu arrosé.Notre première étape était Cayo Herradura où nous avons rejoint Christelle et Jaco de `Songerie`. Nous avions l`intention de partir dans la nuit pour arriver au petit matin à Tortuga, mais on s`est fait un petit coup de stress. Hicham a sorti notre `flare gun` (pistolet qui tire des fusées de détresse), on ne sait jamais (si jamais des pirates devaient attaquer, ils arrivent généralement avec de grosse barques de pêche avec de gros moteur et plein de réserves d’essence. Un coup de ‘flare gun’ dans leur barques suffirait à faire exploser leur réserve d’essence…), et Clarisse s`est mise à avoir mal au ventre. On était tout de même prêt à lâcher les amarres, quand Hicham a demandé de l`aide pour la sortie à de nouveaux arrivés dans la marina car il y avait pas mal de vent. Ils nous ont regardé avec de grands yeux et nous ont vivement déconseillés de partir de nuit de Puerto La Cruz. Voila qui régla notre dilemme. Sur ce, nous sommes allés dormir et après une bonne nuit de sommeil, nous avons lâché les amarres au lever du jour. Le vent et le courant avec nous, nous avons fait du 6 nœuds tout le long de la route. Et la pêche fut miraculeuse : une magnifique dorade coryphène de 9 kilos, et un barracuda de 4 kilos.


Photo prise de notre ordinateur portable. Nos 2 appareils photos sont tombés en panne en même temps !!!!

Nous avions de quoi nous régaler avec nos amis de Songerie. Eux-mêmes, nous avaient préparé une fricassée de lambis fraichement pêchés. Accompagné d’un tartare de daurade, nous retrouvons enfin le plaisir de vivre en Robinsons (de luxe) du produit de notre pêche. Il faut dire qu’on l’a mérité car ça a été une vraie bataille pour ramener cette daurade a bord.


Le temps d’une journée le lendemain pour fumer le poisson et profiter un peu de la plage, et nous voila repartis pour Los Roques. La navigation fut agréable avec un bébé souriant, et un Hicham qui a assuré au niveau de la navigation et en plus, on a pêché un magnifique thon rouge (6 kgs ). Nous sommes entrés à Los Roques au niveau de Boca de Sebastol par une mer plate, le soleil bien haut.




Nous avons jetés l`ancre non loin de l`entrée, protégés par un ilot de mangrove. Au menu ce soir : en entrée, Sashimi et soupe de thon accompagnée de ces croutons à l’ail et en plat principal, dorade coryphène dans sa marinade de moutarde et miel (d’un fondant !...), le tout arrosé d’un bon vin chilien. Et puis pour clore cette merveilleuse soirée, une bonne salade de fruits exotiques. Elle n’est pas belle la vie !?